Question n°5 : De nombreux thérapeutes disent pratiquer la Resfo. Comment être sûr, en allant consulter un praticien qui fait référence à un enseignement et une formation reçus du Dr. Claude Piro, que ce praticien applique les principes stricts nécessaires à la pratique de la Resfo ?

Question n°5 : Teresa G. de Barcelona le 29/12/2020

De nombreux thérapeutes disent pratiquer la Resfo. Comment être sûr, en allant consulter un praticien qui fait référence à un enseignement et une formation reçus du Dr. Claude Piro, que ce praticien applique les principes stricts nécessaires à la pratique de la Resfo ?

Réponse : le 04/01/2021

La Resfo n’est pas une thérapie, mais une aide pour permettre à nos cellules de faire ce qu’elles doivent faire pour que l’on retrouve la “Santé” perdue ou pour nous maintenir en “Santé”, selon la définition de la “Santé” décrite dans le premier texte de “Bienvenue”.

De ce fait, la question se résume à : comment choisir un praticien de Resfo qui n’agit pas comme un thérapeute puisque la Resfo n’est pas une thérapie ?

On a besoin d’un thérapeute lorsque des symptômes menacent notre vie ou affaiblissent nos fonctions cellulaires. Ces thérapeutes utilisent normalement les moyens classiques de la médecine universitaire. Cette dernière ayant une méconnaissance de la partie métaphysique de notre Être, celle qui régit notre raison d’être, se retrouve parfois face à des échecs thérapeutiques. Quand cela n’est pas le cas, les traitements inadaptés au pourquoi de notre existence provoquent des déplacements de symptômes qui ne sont, en fait, que des alertes de perte de “Santé”. Mais ces alertes s’expriment par des pathologies de plus en plus graves par rapport à notre vie (je me permets de rappeler que notre vie se poursuit au-delà de notre existence par la libération de notre métaphysique). Pour essayer de suppléer à ces “échecs” thérapeutiques, de nombreuses thérapies dites alternatives sont nées, mais, pas plus que la médecine universitaire, elles ne prennent en compte le métaphysique. La médecine universitaire utilise des médicaments chimiques que les cellules reconnaissent comme des éléments étrangers à l’organisme et, de ce fait, les réactions produites stimulent les défenses de l’organisme qui restent en alerte. Les médecines alternatives utilisent soit des moyens naturels, non transformés chimiquement, mais dont les mémoires désactivées existent dans les cellules de par notre hérité exobiologique, soit le mental psychique de l’individu lui-même, soit des stimulations sur ses propres points reflexes, et ainsi les cellules n’ont pas la possibilité de s’opposer à leurs propres constituants, elles se soumettent alors, et acceptent les symptômes comme des perceptions naturelles. En supprimant ces alertes, notre métaphysique, et donc notre vie, est affecté car un nouvel épigénome est créé.   

La médecine universitaire, tout comme les médecines alternatives, utilise le mental psychique du thérapeute car on se sert de résultats obtenus dans des expériences passées que l’on espère efficaces dans un futur prochain, et cela sur tous les individus sans tenir compte de leurs différences.

La Resfo s’appuie sur un modèle de fonctionnement génomique commun à tous les êtres humains quelle que soit la constitution physique, l’âge, le sexe ou l’ethnie. Son action a pour but de désactiver l’épigénome pour libérer le génome humain. Pour cela, il ne faut pas que le praticien de Resfo utilise les connaissances de son mental psychique. Certes, il va demander pourquoi le patient vient le consulter, mais ce ne doit pas être dans le but de faire disparaitre ses symptômes mais simplement pour savoir si le patient est suivi par un professionnel de la médecine universitaire afin d’être sûr qu’il ne soit pas atteint d’une pathologie, non traitée, qui met en danger son existence. En effet, si après une séance de Resfo, il arrive très souvent que des symptômes disparaissent, le patient n’a pas pour autant retrouvé totalement la “Santé”. Il devra accepter de changer ses attitudes face aux évènements qui surviendront au cours de son existence, pour atteindre la neutralité et l’acceptation qui lui permettront de libérer son métaphysique au moment venu.

Pour choisir un thérapeute, il vaut mieux choisir un thérapeute qui applique les données de la médecine universitaire en évitant ceux qui utilisent la puissance du mental psychique comme la psychothérapie, la psychanalyse, l’hypnose… Ne pas oublier que le mental psychique est l’ennemi du mental cellulaire car il ne connait pas la réalité du moment présent. Dès qu’il prend conscience de quelque chose, il impose une réalité de son moment présent en s’appuyant sur ses connaissances passées.

Pourquoi ne pas choisir les médecines alternatives ?  

L’objectif des médecines alternatives est d’obtenir ce que la médecine universitaire ne permet pas de réaliser : la bonne santé, l’état fonctionnel parfait de l’homme, exempt de symptômes ou de maladies qui handicapent son existence. L’existence est liée au physique et la vie au métaphysique. Le physique et le métaphysique sont les deux composants de l’Être, reliés par la référence Univers commune aux deux, l’Âme. Les symptômes ne sont que le témoin d’une dysharmonie qui apparait entre l’existence et la vie, le physique et le métaphysique. Pour supprimer cette dysharmonie, il suffit de supprimer l’un des deux éléments. Pour retrouver la bonne santé, il ne reste plus qu’à supprimer le métaphysique : l’objectif inconscient des médecines alternatives pour atteindre la bonne santé.

J’ai étudié bon nombre de médecines alternatives, jusqu’à les enseigner dans des écoles officielles comme la faculté de médecine de Paris Nord dans le cadre du DUMENAT (Diplômes Universitaires de Médecines Naturelles) et le GLEM (Groupe Lyonnais d’Etudes Médicales dirigé par le Docteur Paul Nogier qui m’avait chargé de l’enseignement diffusé aux USA, Canada, Allemagne, Italie et Espagne). J’ai pu vérifier leurs actions grâce à la Resfo. Elle m’a toujours montré, qu’après avoir harmonisé physique et métaphysique par une séance de Resfo, l’application d’une des médecines alternatives, pratiquée par un spécialiste en ces domaines, avait toujours affecté gravement le métaphysique de l’individu traité.

Pour conclure, pour choisir un praticien de Resfo qui n’agit pas comme un thérapeute, il suffit de vérifier que ce thérapeute ne cautionne aucune des médecines alternatives ou techniques qui mettent en danger le métaphysique du patient qui vient se faire aider. Pour plus de sécurité vous pouvez vous adresser au secrétariat de Resfo, numéro de téléphone +34 934644801, ou adresse mail  recat@resfo.com